Petit-déjeuner autour de Jean-Paul AGON, PDG du groupe L'Oréal
Il y a quelques années, notre invité dînait dans un restaurant chinois du 13ème arron- dissement de Paris. L’histoire ne dit pas avec qui, ni où, ni quoi. Quoi qu’il en soit, son « fortune cookie » disait : « vous avez beaucoup de chance, mais vous en aurez besoin ». Une prédiction tout à fait exacte ! Avant de devenir le 5ème PDG en 100 ans d’existence de L’Oréal, l’indétrônable pre- mier groupe de cosmétique au monde, aux 36 marques, couvrant tous les pays, toutes les gammes de prix, répondant à tous les besoins beauté, Jean-Paul Agon y fait ses classes dès sa sortie d’HEC. La consécration ? Ce sera en 1997, quand il prendra en charge le développement de toutes les activités de la zone Asie. Son arrivée coïncidera avec la crise financière du continent. Le succès a été tel, que le groupe lui confiera ensuite la direction de L’Oréal Etats-Unis... une semaine avant le 11 septembre. Rappelez-vous du « fortune cookie » ! Quel est le secret de cette aurore L’Oréal, devenue la marque française la plus puissante dans le monde ? Mélangez la stabilité, l’énergie, l’audace, l’intuition L’Oréal, c’est un empire qui a réussi à s’adapter. Il est aussi un des premiers à avoir anticipé « la révolution digitale » en offrant une nouvelle « expérience produit » aux clients. « Aujourd’hui, c’est déterminant. Le digital est l’avantage compétitif majeur en matière de relations avec les consommateurs, de marques, de mar- keting, de communication ou encore de e-commerce. Il représentait 0% de notre chiffre d’affaires il y a encore 5 ans. Aujourd’hui, nous en sommes à 13,5% et surtout il connaît une croissance de 50% par an, soit pratiquement la totalité de la croissance globale pour le groupe. » soulève Jean-Paul Agon.
Notre pays ne représente que 7 % de son chiffre d’affaires et pourtant 25% de la production industrielle mondiale et les deux tiers des investissements en matière de recherche se passent sur notre sol. Le cœur stratégique de L’Oréal est incontestablement en France. Ce fleuron international paie 25% de ses impôts mondiaux en France.
Il conclura par ces mots « Il faut anticiper ce qu’il va se passer et prendre les bons paris, les bons virages et être toujours extrêmement agile de façon à pouvoir bouger en fonction des évolutions. C’est une très belle aventure grâce à des équipes absolument formidables. Nous sommes une entreprise avec une culture très forte, que nous avons tou- jours gardée, lorsque nous relisons les maximes aujourd’hui d’Eugène Schueller ou de François Dalle, les mêmes valeurs persistent, applicables dans un monde différent, avec des technologies différentes. Nous sommes humanistes, avec la volonté de l’excellence et celle de gagner. Nous avons aussi la chance d’avoir beaucoup de gens qui veulent nous rejoindre, nous recevons environ 1 million 500 milles candidatures chaque année dans le monde. C’est une aventure qui n’a que 110 ans et nous sommes bien tous décidés chez L’Oréal à la faire continuer très longtemps. » Quelle belle note d’espoir pour le savoir-faire français et son rayonnement !
Notre revue GEEA : Entreprises : les bons tuyaux pour l'innovation et l'emploi
Petit-déjeuner autour de Catherine Colonna, ambassadrice, représentante permanente de la France auprès de l'OCDE
sur le thème :
« TAXATION DES GAFA : RÉVOLUTION MONDIALE OU EXCEPTION FRANÇAISE ? »
Petit-déjeuner autour de Jean-Dominique Senard, PDG de Michelin
sur le thème :
« RÉCONCILIER ENTREPRISE ET SOCIÉTÉ : CELA PEUT-IL ROULER ? »
Petit déjeuner autour de Geoffroy Roux de Bezieux, Président du Medef
sur le thème :
« QUELS CHANGEMENTS POUR LES ENTREPRISES ET LE MEDEF DANS CE MONDE QUI SE TRANSFORME ? »
Petit déjeuner autour de Denis Machuel, Directeur général de Sodexo
sur le thème :
« SODEXO EST-IL TOUJOURS DE TAILLE À ANTICIPER LA DEMANDE DES CONSOMMATEURS CITOYENS ? »
Petit-déjeuner GEEA autour de Jacques Séguéla
sur le thème :
« PEUT-ON VENDRE UN POLITIQUE COMME ON VEND UNE LESSIVE ? »
Parcours d'un élu local, de l'entreprise à un groupe parlementaire entrepreneur par Laurent Garcia
Laurent Garcia, élu en 2008 maire de Laxou et Vice-Président de la Métropole du Grand Nancy, est depuis juin 2017 député de Meurthe-et-Moselle. Il siège à la Commission des Affaires Culturelles et de l’Education. Ingénieur ENSEM, il a occupé divers postes au sein du Groupe ENGIE: fort de ses expériences, il connaît le monde de l’entreprise et adhère notamment au groupe Génération Entreprise - Entrepreneurs Associés. Laurent Garcia évoque la transition entre ses mandats locaux, l’Entreprise et l’Assemblée nationale.
Votre expérience d’élu local vous a-t-elle été bénéfique pour votre mandat de député ?
L’expérience locale est particulièrement utile dans la logique des impératifs citoyens que je garde en tête quotidiennement dans l’appréhension des règles de fonctionnement de l’Assemblée Nationale, le respect des procédures et des méthodes de travail. Ce vécu antérieur a facilité ma prise de fonc- tion, et rapidement de pleinement m’investir dans le travail parlementaire, sans pour autant atténuer, je le concède, un réel trac pour mon premier jour dans l’hémicycle !
Aujourd’hui, mes missions sont très dif- férentes, c’est mon premier mandat de éputé, tout reste nouveau. Les enjeux sont autres, le député travaille pour l’intérêt général sur des problématiques légis- latives nationales, quand le maire traite d’affaires locales. Or pouvoir anticiper en tant que député en pleine connaissance des problématiques de l’échelon local est une réelle plus-value et évite les prises de positions utopiques !
Votre expérience professionnelle au sein de diverses entreprises est-elle selon vous un « plus » pour vos missions au sein de l’Assemblée Nationale ?
Incontestablement, avoir travaillé au sein d’entreprises permet de gagner en cré- dibilité auprès des acteurs décisionnels. En effet, on vous écoute davantage car vous maîtrisez le sujet. Par ailleurs, le tra- vail collaboratif en entreprise, impliquant des contraintes humaines et idéologiques dans un quotidien professionnel qui doit satisfaire aux objectifs à atteindre avec en ligne de mire la réussite et la pérennité de l’entreprise, est une excellente base pour le politique amené à participer à la construction de notre avenir.
Ce qui est attendu aujourd’hui, dans le monde professionnel comme politique ? Implication et efficacité. Le politique est soumis aux mêmes exigences qu’en entreprise : il est observé, évalué, jugé. Je retrouve donc dans la sphère politique des processus qui m’étaient familiers. Ma vie professionnelle a créé chez moi des automatismes de réflexion, d’auto questionnement, et me pousse à une ouver- ture intellectuelle de découverte des évo- lutions entrepreneuriales qui enrichissent mon activité parlementaire. L’adhésion à divers groupes d’amitié ou d’étude permet de nourrir cette curiosité. Il en est de même dans le groupe présidé par Olivier Dassault : Génération Entreprise - Entrepreneurs Associés où la diversité des thèmes et la rencontre de chefs d’entreprises prestigieux présentent un attrait inestimable.
Comment faites-vous le lien entre votre métier initial d’ingénieur et votre mandat actuel ?
Le lien s’opère naturellement. Pour exemple, je suis Vice-Président du groupe d’étude « énergie verte » et ainsi, mon expérience et mes connaissances sur le sujet me permettent de lier volonté politique et expérience professionnelle. Aujourd’hui, le secteur de l’énergie est en pleine mutation, d’où l’intérêt de réfléchir à ces sujets fondamentaux pour notre avenir, celui de la planète, bref, qui demandent de l’anticipation en matière de transition écologique.
Quels autres sujets vous tiennent à cœur et pour lesquels vous êtes engagé ?
Un sujet m’intéresse particulièrement : les médias. En avril dernier, j’ai co-signé un rapport sur l’évaluation de la loi de 2015 concernant la modernisation du sec- teur de la presse et qui met en exergue certains dysfonctionnements, évoque les difficultés de l’entreprise Presstalis, interpelle sur les limites de la loi « Bichet » de 1947 et suggère des pistes de réflexion, notamment en matière de distribution de la presse et de régulation de la filière. Je travaille actuellement à une proposition de loi sur ce sujet.
Je travaille également sur des thèmes, tels l’éducation à adapter aux besoins des entreprises, la simplification administrative pour les entreprises, le statut des personnels de santé, l’accès aux soins, et la vie associative culturelle et sportive.
Notre revue GEEA : Accélérons la croissance !
Le Figaro : «Loi Pacte : il faut aller plus loin pour libérer notre croissance !»
Les membres de «Génération entreprise-Entrepreneurs associés» soutiennent les mesures de la loi Pacte mais demandent davantage d'audace. - Crédits photo : ERIC FEFERBERG/AFP
Alors que le gouvernement d'Édouard Philippe avait tablé sur une croissance de 2 % en 2018, celle-ci connaît en réalité un vrai coup d'arrêt. En stagnant à 0,2 % du PIB au deuxième trimestre, elle devrait ainsi davantage avoisiner les 1,7 % cette année, avec des conséquences en cascade sur notre niveau de chômage ou la situation de nos finances publiques.
Avec un taux de chômage de 9,2 %, la France reste ainsi en queue de peloton de la zone euro, mais elle apparaît surtout comme le membre de l'Union européenne dont le chômage décroît le plus lentement depuis le début de la reprise. Quant à notre dette, cette dernière continue inexorablement de grimper pour s'élever aujourd'hui à 97,6 % du PIB, un niveau sans précédent dans notre histoire.
Mais alors, après la magnifique victoire de la France au Mondial de football, que faire pour que notre pays devienne, aussi, le champion du monde de l'économie et de l'emploi?
Le plan d'action pour la croissance et la transformation des entreprises, dit loi Pacte, offre une opportunité historique pour déverrouiller les principaux freins à la croissance de nos entreprises, libérer leur capacité d'emploi et débrider, enfin, leur formidable potentiel d'innovation.
» LIRE AUSSI - Ce qui va changer pour les salariés et les entreprises avec la loi Pacte
L'installation d'un guichet unique pour la création d'entreprise, la rationalisation des procédures de redressement judiciaire ou encore la libération de l'intéressement et de la participation, conformément à l'objectif du général de Gaulle de mettre fin aux affrontements stériles entre capital et travail, vont notamment dans la bonne direction. Certaines de ces propositions étaient d'ailleurs présentes dans le livre blanc de «Génération entreprise- Entrepreneurs associés», remis au ministre de l'Économie et des Finances, par les 140 parlementaires membres de cette association d'intérêt général, en janvier de cette année.
Profiter d'une conjoncture économique favorable
C'est pourquoi, si nous soutenons les mesures qui visent à lever les obstacles du développement de nos entreprises, de leur création à leur transmission, en passant par leur financement, nous appelons également de nos vœux que certaines d'entre elles soient beaucoup plus ambitieuses. Comme le préconise le FMI, c'est en effet maintenant qu'il faut «réparer la toiture tant que le soleil brille» en profitant de cette conjoncture économique favorable pour mener des réformes courageuses.
C'est notamment le cas de la simplification des seuils sociaux, ces véritables freins à l'embauche qui conduisent notre pays à cette situation unique au monde: deux fois plus d'entreprises de 49 que de 50 salariés!
Certes, la mise en place d'un délai de cinq ans pour répondre aux obligations et l'harmonisation du mode de calcul des effectifs faciliteront la vie des entrepreneurs. Mais pourquoi ne pas aller plus loin en repoussant toutes les obligations du seuil de 50 salariés, même celles du Code du travail, à au moins 100 salariés? L'enjeu est de taille car si notre pays détient l'un des records du monde en termes de créations d'entreprises, avec 591 000 créations en 2017, ces dernières ne grandissent que trop lentement, avec seulement 5 800 entreprises de taille intermédiaire, contre plus de 12 500 en Allemagne!
Concernant le financement de nos entreprises, il faudrait également plus d'ambition tant le léger renforcement prévu du PEA-PME et des fonds Euro-croissance, deux instruments financiers mis en place sous le précédent quinquennat et qui n'ont jamais rencontré le succès escompté, semble insuffisant face à l'urgence de la situation.
Dès lors, pourquoi ne pas déplafonner le dispositif Madelin, le PEA-PME et le financement participatif? Une telle mesure permettrait de combler la fin de l'ISF-PME et de faire émerger de solides «business angels» pour transformer notre épargne stérile en une épargne fertile, au service de l'emploi des Français. Il s'agit en effet de s'attaquer au sujet crucial du renforcement de l'investissement direct des Français vers nos TPE, nos start-up et nos PME en augmentant considérablement l'incitation fiscale en proportion des risques pris, à l'image de l'exemple britannique avec une incitation forte à investir, jusqu'à 1 million de livres, déductible à 30 % de l'impôt sur le revenu.
Alors oui, ne manquons pas d'audace pour réconcilier les Français avec l'économie et leur donner envie de s'impliquer dans la vie de nos entreprises. C'est une exigence si nous voulons libérer les talents, les énergies, les volontés, pour devenir la «Silicon Valley» de l'Europe à horizon de dix ans et redonner à notre pays l'optimisme qu'il n'aurait jamais dû perdre.
Olivier Dassault, député de l'Oise et président de Génération entreprise- Entrepreneurs associés (GEEA), est par ailleurs administrateur de Dassault Médias, société propriétaire du Figaro. Jean-Michel Fourgous, président de l'agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines, est délégué général de GEEA. La liste complète des 74 parlementaires cosignataires - parmi lesquels Valérie Bazin-Malgras, députée de l'Aube et vice-présidente de l'Assemblée, Michel Herbillon, député du Val-de-Marne et vice-président de l'Assemblée, Annie Genevard, députée du Doubs et vice-présidente de l'Assemblée - peut être consultée sur FigaroVox.
La liste des signataires:
Olivier Dassault, député de l'Oise; Jean-Michel Fourgous, Président Saint-Quentin-en-Yvelines; Valérie Bazin-Malgras, députée de l'Aube et Vice-Présidente; Michel Herbillon, député du Val de Marne et Vice Président; Annie Genevard, député du Doubs et Vice-Présidente de l'AN; Marc Le Fur, député des Côtes-d'Armor; Eric Ciotti, député des Alpes-Maritimes; Daniel Fasquelle, député du Pas-de-Calais; Laure de La Raudière, députée d'Eure-et-Loir; Damien Abad, député de l'Ain; Sophie Auconie, députée d'Indre-et-Loire; Thibault Bazin, député de Meurthe-et-Moselle; Olivier Becht, député du Haut-Rhin; Martine Berthet, sénatrice de la Savoie; Jerome Bignon, sénateur de la Somme; Jean-Yves Bony, député du Cantal; Ian Boucard, député du territoire de Belfort; Céline Boulay-Esperonnier, sénatrice de Paris; Valérie Boyer, députée des Bouches-du-Rhône; Bernard Brochand, député des Alpes-Maritimes; Fabrice Brun, député de l'Ardèche; Olivier Cadic, Sénateur des français de l'étranger; Jacques Cattin, député du Haut-Rhin; Gérard Cherpion, député des Vosges; Guillaume Chevrollier, Sénateur de la Mayenne; Paul Christophe, député du Nord; Dino Cinieri, député de la Loire; Pierre Cuypers, sénateur de la Seine-et-Marne; Typhanie Degois, députée de Savoie; Remi Delatte, député de Côte-d'Or; Stéphane Demilly, député la Somme; Julien Dive, député de l'Aisne; Philippe Dominati, sénateur de Paris; Marianne Dubois, députée Du Loiret; Pierre-Henri Dumont, député duPas-de-Calais; Jean-Jacques Ferrara, député de Corse du Sud; Nicolas Forissier, Ancien ministre, député de l'Indre; Claude de Ganay, député du Loiret; Laurent Garcia, député de Meurthe-et-Moselle; Meyer Habib, député des Français de l'étranger; Philippe Gosselin, député de la Manche; Patrick Hetzel, député du Bas-Rhin; Alain Houpert, sénateur de la Côte-d'Or; Brigitte Kuster, députée de Paris; Elisabeth Lamure, Sénatrice du Rhône; David Lorion, député de la Réunion; Sébastien Leclerc, député du Calvados; Ronan Le Gleut, Sénateur des français de l'étranger; Constance Le Grip, députée des hauts-de-seine; Vivette Lopez, sénatrice du Gard; Véronique Louwagie, député de l'Orne; Gilles Lurton, député d'Ille-et-Vilaine; Emmanuel Maquet, député de la Somme; Sébastien Meurant, sénateur du Val-d'Oise; Maxime Minot, député de l'Oise; Patricia Morhet-Richaud, sénatrice des Hautes-Alpes; Christophe Naegelen, député des Vosges; Olivier Paccaud, sénateur de l'Oise; Bernard Perrut, député du Rhône; Berengère Poletti, député des Ardennes; Benoit Potterie, député du Pas-de-Calais; Sophie Primas, Sénatrice des Yvelines; Didier Quentin, député de charente maritime; Damien Regnard, Sénateur des français de l'étranger; Jean-Luc Reitzer, député du Haut-Rhin; Maina Sage, député de la Polynésie française; Raphaël Schellenberger, député du Haut Rhin; Eric Straumann, député du Haut-Rhin; Jean-Charles Taugourdeau, député du Maine-et-Loire; Guy Teissier, député des Bouches-du-Rhône; Laurence Trastour-Isnart, députée du Alpes-Maritimes; Isabelle Valentin, député de Haute-Loire; Pierre Vatin, député de l'Oise; Arnaud Viala, député de l'Aveyron; Michel Vialay, député des Yvelines; Stéphane Viry, député des Vosges.
Notre revue GEEA : Un autre regard sur l'industrie
Petit déjeuner autour de Jean-Cyril Spinetta
« Et si nous prenions un train d’avance ? »
autour de Jean-Cyril Spinetta, Auteur d’un rapport sur l’avenir du transport ferroviaire
Petit déjeuner autour de Maurice Levy, Président du Conseil de surveillance de Publicis
sur le thème :
"Entreprises et Médias font-ils bon ménage?"
Petit déjeuner GEEA autour de Sébastien Missoffe, directeur général de Google France
Petit déjeuner GEEA autour de Sébastien Missoffe, directeur général de Google France
sur le Thème:
" La culture d’entreprise au service des objectifs "
Revue GEEA : Top départ pour la France !
Petit-déjeuner autour de Laura Flessel, ministre des Sports
autour de Laura Flessel
ministre des Sports
sur le thème :
" Jeux Olympiques 2024 : une chance pour la France ? "
Petit-déjeuner autour de Charles Znaty, Président de la maison Pierre Hermé
autour de Charles Znaty
Co-fondateur et Président de la maison Pierre Hermé
sur le thème :
"La fabuleuse histoire du macaron. De Paris à Tokyo, à l’espace : la maison Pierre Hermé Paris"